Citizen science : more than just a data-collection tool (a case study from Cyprus) ORAL PRESENTATION

Data is vital to identifying the cause and potential solution to problems. Unfortunately, often a large amount of data is needed to draw these conclusions, an amount that is often impossible for researchers to collect alone. A viable solution to this problem is a tool known as citizen science. Citizen science involves the mobilisation of the public to assist in data collection. The data gathered from citizen science efforts have helped draw conclusions and present solutions to known problems. One of the vastest environmental problems currently plaguing the earth is that of marine litter. Marine litter is having documented detrimental effects on both wildlife and humans. The public is often unaware of the true destruction caused by marine litter and do not understand that it affects everyone regardless of nationality or social standing.

This is the concept that led to the implementation of the MarLitCy project, to introduce the issue of marine litter to Greek Cypriots and Turkish Cypriots, collect much-needed data on the distribution of litter on the divided Mediterranean island of Cyprus and bring together two communities in conflict over a common goal. This vital data will be used to supplement the marine litter database of the project which is subsequently used to inform on decisions that affect the wellbeing of the island.
Through the implementation of joint, bi-communal activities involving beach and seabed cleanups with volunteers and divers, MarLitCy brings an unconventional twist on the idea of citizen science not just for the collection of large amounts of data but also as a tool to spark conversation and understanding between two divided communities and to increase the awareness of a country on the issues that affect them. This paper will present the outcomes and lessons-learned from these citizen-science actions and how this can be replicated to facilitate extensive data collection alongside cooperation.

The MarLitCy Project is funded by the European Union under the Cypriot Civil Society in Action VI grant scheme and implemented by Famagusta Walled City Association (MASDER), AKTI Project and Research Centre, North Cyprus Diving Centres Association, and Enalia Physis Environmental Research Centre.
Mrs Christina BALDWIN and Xenia LOIZIDOU and ATAI Serdar, Famagusta Walled City Association MASDER, MarLitCy : Marine Litter for Synergies, and Capacity-building, Cyprus, http://www.marlitcy.eu/

Nature au sommet ORAL PRESENTATION

En juillet, je suis allé à Chandolin, un des plus hauts villages d’Europe pour participer, avec d’autres profanes au programme de Nature au Sommet.

Le séjour Nature au Sommet est un programme qui mêle botanique et alpinisme, où des participants, de 13 à 45 ans, récoltent des données, supervisés par un botaniste. Il s’inscrit dans le projet BIODIVERSITA, qui est composé de nombreux autres séjours, et dont l’objectif est l’étude et la conservation de la biodiversité, via la recherche participative.
Mr Luc IMBERT, ONG Objectif Sciences International - OSI BIODIVERSITA, France, https://www.osi-biodiversita.org/

Botan’Île : Le jardin mobile pour l’éducation aux plantes et la recherche en ethnobotanique. ORAL PRESENTATION

Créer et impulser des changements impactants, dans nos sociétés, impliquera dans le futur plusieurs strates d’innovation, de l’éducation et la recherche jusqu’à l’industrie. Pouvons-nous, en tant qu’entreprises, ré-imaginer nos façons d’innover, en prenant en compte les besoins des citoyens, l’équilibre écologique du monde, tout en maintenant un cycle de travail vertueux ? Benephyt, créée en 2013 en tant qu’entreprise de recherche indépendante, a pour but d’adresser le problème de la douleur chronique, une maladie qui touche plus de 30% des citoyens dans le monde et pour laquelle on manque de traitements efficaces et durables. En sus de cette activité, l’entreprise a désormais de nouvelles missions, dont la conservation et la protection de la biodiversité et la traduction des savoirs ethnobotanique à un public large et diversifié.

Notre objectif est de re-découvrir, d’évaluer et d’explorer la pertinence des savoirs traditionnels pour le traitement de la douleur chronique et d’autres usages pertinents des plantes, via des approches ethnobotaniques et ethnopharmacologiques.

Dans ce but, la collecte et le recensement collaboratif d’informations sont nécessaires. Dans une tentative de rendre cet échange de connaissances éthique et vertueux, nous avons imaginé le prototype d’un jardin pédagogique modulaire et mobile qui nous permettra à la fois de communiquer et de collecter des informations sur les usages locaux traditionnels des plantes de l’est de la France. Cet outil polyvalent pourrait ouvrir des opportunités de recherche et d’éducation dans toutes sortes de localités et dans les endroits les plus inattendus, de la grande ville à de petits villages provinciaux, de la bibliothèque au supermarché.

Dans l’ensemble, nous espérons que ce prototype deviendra un outil précieux pour la recherche dans le domaine de l’ethnobotanique et de l’ethnopharmacologie, aussi bien que pour la sensibilisation à l’environnement parmi les citoyens. Cette initiative s’inscrit parfaitement dans un effort global pour la protection et la conservation de la biodiversité.
Mrs Eléa HEBERLE, Ph.D ; Ethnopharmacology researcher - Benephyt, France, www.benephyt.fr

Au fil de l’arbre - collemboles ORAL PRESENTATION

Présentation de deux projets de recherche participative portant sur l’étude des sols. Évaluation de l’efficacité de différents protocoles portant sur l’observation de la biodiversité des sols. Participation à une expérience visant à modifier le rapport aux sols des participants.
Mr Pierre DEBELLEMANIERE, ONG Objectif SCiences International - OSI PERCEPTIONN, France, https://www.osi-perception.org/

Quand la biodiversité des écosystème rencontre les sciences paticipatives ORAL PRESENTATION

Comment mieux comprendre les relations entre tous les êtres vivants d’un écosystème dans le but de proposer des solutions écologiques innovantes.

Peut-être en sensibilisant aux systèmes de gestion intégrée par la pédagogie de projet afin de familiariser chacun à son milieu environnant.
Mrs Solène TOUZEAU, ONG Objectif Sciences International - OSI PERCEPTION, France, https://www.osi-perception.org

Les Pyrales et Les Collemboles ORAL PRESENTATION

Les séjours Au fil de l’Arbre pyrales et collemboles créés par OSI présentent :
Les pyrales, une espèce invasive qui détruit chaque buis sur son passage ! Mais nous ne savons pas tout sur elles .... Leur nombre de mues est encore inconnu ! Et des prédateurs ont été découverts par OSI !
Les collemboles, des supers héros invisibles à l’œil nu ! Et pourtant sans eux nous ne pourrions plus vivre ! Ils aèrent et apportent des nutriments au sol mieux que personne !
Mr Paule-Elie RABIER and Mr Amaury BARRET, ONG Objectif Sciences International OSI PERCEPTION, France, https://www.osi-perception.org/

OSI PANTHERA EXPEDITIONS EN SCIENCES PARTICIPATIVES POUR PRESERVER LA PANTHÈRE DES NEIGES ET SON ECOSYSTEME ORAL PRESENTATION

Depuis 2007, le programme Panthera oeuvre à la protection de la panthère des neiges et son écosystème au Kyrgyzstan et au Népal gr6ace à l’organisation d’expeditions en sciences participatives.

Pièges photographiques, analyses génétiques et suivi de la faune sauvage sont au programme en partenariat avec les réserves naturelles et associations locales.
Mr Bastien CHAIX, OSI PANTHERA, France, www.osi-panthera.org

Water Watch ORAL PRESENTATION

Le séjour Water Watch vise a résoudre les problémes que nous pouvons trouver dan l’écosystéme aquatique en France et dans le monde.

Pendant ce séjour nous avons pu constater que l’éléctro-conductivité était plus grande pour les rivieres la Fontaine des Allemands et pour la Miére que pour le Pré Janneton et pour le Petit Vair, ce qui nous permets de connaitre le taux de sel nutritif dans l’eau.

Mais nous avons aussi pu remarquer qu’il n’y avait pas de nitrite,dangereux pour les êtres vivants.
Mrs Maïra AGUILAR-BRE, ONG Objectif Sciences International, France, https://www.osi-water-watch.org/

Clean Games REMOTE ORAL PRESENTATION

Clean Games are team competitions in cleaning up local territories. The participants compete in waste collecting and sorting, and the winners are awarded. The players use the mobile app — it is like Pokemon Go but with garbage.

An event gathers from 30 to 1500 people. They collect from 0.5 to 20 tons of waste for an hour. In general, the Clean Games participant can collect 10 times more waste than during a traditional clean-up. Games are held as city festivals with a host, music and a picnic.

The project started in 2014 in Saint Petersburg, Russia. Since then more than 1250 games have been held in 436 Russian cities, the USA, China, Japan, and 23 more countries in Europe, Asia, and Africa.

The games have united more than 87 000 players, who have collected more than 3200 tons of waste. The Clean Games methodology is spread free of charge.
Mr Anton ZAITSEV, Russian Federation, Russian Federation, https://cleangames.org

Explorer les perspectives de villes plus résiliantes en Afrique REMOTE ORAL PRESENTATION

Dans le contexte de l’aménagement du territoire ou de l’urbanisme, on parle de villes résilientes. La ville résiliente semble être la solution à beaucoup de défis urbains des hameaux africains surtout avec l’avènement de la pandémie. L’Afrique s’est lancée depuis quelques années vers une politique de villes intelligentes et de villes durables. Quels sont donc les critères pour un modèle de ville résiliente africaine si l’on se base sur certains pays qui se démarquent déjà ? Quels sont les aspects dont il faut désormais tenir compte dans ce contexte de crise sanitaire tout en assurant la durabilité de ces projets de villes durables.
Nous donnerons une définition générale des différents termes désignant les villes, prendront des exemples de villes africaines et explorerons des aspects importants pour définir les bases d’un modèle de ville résiliente. Nous mettrons alors en exergue l’importance d’éduquer la population et la jeunesse pour qu’elle participe à cette action tout en donnant un ou deux exemples.

Ms. Essi Farida GERALDO ; Youth Architect Community, Togo, https://www.facebook.com/youtharchidar/

Le lidar dans la vie de tous les jours ORAL PRESENTATION

Durant ces vacances d’été à Crupies, une petite commune à côtés de Valence dans les montagnes moi et des jeunes intéressés sur l’informatique avons travaillé sur les capteurs plus précisément sur le lidar qui permet de scanner un espace en 3D pour pouvoir scanner une grottes au Mexique difficile d’accès à l’homme avec d’autres séjours en commun.
Mr Gabriel CHAUVELIER, ONG Objectif Sciences International - OSI CHIP HACKADEMY, France, https://www.osi-chip-hackademy.org/

Centrer la recherche-action participative sur l’équité raciale et la justice mondiale REMOTE ORAL PRESENTATION

Partout dans le monde, de plus en plus d’organisations s’engagent à atteindre l’équité raciale et la justice mondiale, mais les complexités entourant la réalisation de tels objectifs ne sont pas toujours claires. Pour aborder efficacement l’équité raciale à RAND, il est important de nous perfectionner dans ces espaces de recherche intersectionnels afin de mieux comprendre les implications qu’ils ont sur notre travail quotidien et notre recherche.

En même temps, nous devons reconnaître que les croyances et les perceptions personnelles, et pas toujours les données, sont ce qui détermine la façon dont les gens réagissent aux efforts déployés pour accroître l’équité. L’équilibre entre les études sur l’équité raciale, l’analyse des politiques et la sensibilisation interfonctionnelle sont essentiels pour rendre le travail du RAND Center to Advance Racial Equity Policy significatif et orienté vers l’action.
Mrs Rhianna ROGERS, RAND Corporation, United States

La science avec et pour la société : vers un avenir meilleur ORAL PRESENTATION - ABSENT

La science de la citoyenneté est une branche de la science qui est mise en œuvre de manière participative et interactive au niveau communautaire. De cette façon, la science et la société sont influencées par de nouvelles approches et idées. De plus, le sens de la recherche et de ses résultats, souvent qualifiés d’environnement fermé, impliquent davantage de personnes. La science de la citoyenneté a le potentiel d’apporter un large éventail d’avantages aux chercheurs, aux citoyens, aux décideurs, à la société et au cycle de la recherche et de l’innovation. Cela peut rapprocher la science et la rendre plus pertinente pour la société, accélérer et permettre la production de nouvelles connaissances scientifiques et aider les décideurs politiques à surveiller la mise en œuvre des réglementations et leur conformité.

En plus de tous ces avantages, la sensibilisation accrue du public à la science et la flexibilité dans l’élaboration des politiques et l’augmentation de l’élaboration des politiques fondées sur des preuves sont d’autres avantages de la science de la citoyenneté. Le but de cette étude est de présenter les objectifs du programme de sciences avec et pour les communautés documentaires.
Mrs Maryam MOGHADAMI, Tehran university, Iran, Islamic Republic of, https://ut.ac.ir/en

PROJET CITOYEN DE RECHERCHE PARTICIPATIVE POUR UN URBANISME DURABLE A KINSHASA EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ORAL PRESENTATION - ABSENT

Notre volonté première est de créer des Eco-quartiers ou quartiers durables à Kinshasa. Ces quartiers durables favoriseront donc : De diminuer l’empreinte écologique humaine

• en développant au maximum l’efficience du point de vue de la consommation énergétique
• et en développant au maximum l’efficience du point de vue de l’utilisation de ressources naturelles et renouvelables.
  Les objectifs du projet sont les suivants :
• Faire un état des lieux précis de la situation urbaine actuel sous la forme de cartographies et de sondages les plus exhaustifs possibles de la population
• Sensibiliser la population locale des quartiers les plus touchés par ce phénomène aux problèmes liés à l’urbanisme, à l’environnement et aux avantages de développer un urbanisme plus durable
• Dimensionner, simuler, et enfin proposer des améliorations urbaines concrètes et réalistes dans le but de rendre plus sain et durable l’urbanisme et donc les conditions de vie à Kinshasa.

Nous allons élaborer des outils d’urbanisme (schémas d’aménagement, plans et réglementations d’urbanisme, cartes dynamiques) afin de :
Faire un état des lieux de la situation urbaine à Kinshasa par le biais d’enquêtes de terrain, et de la création de de cartographies dynamiques au cours du temps.
Éveiller les consciences de la population locale en terme de développement durable et d’urbanisme durable.

Contribuer à un développement durable de Kinshasa en collaborant avec les autorités compétentes en terme de développement urbain à Kinshasa
Les activités seront articulées autour de 3 axes principaux :

• Une analyse du site naturel de la ville de Kinshasa : Collecte de données climatiques, environnementales et géographique (température, pluviométrie, pédologie, géologie, géotechnique, Profil du site, végétation, planimétrie et nivellement-pente et relief)
• Une analyse urbaine et des conditions de vie de la ville de Kinshasa : Collecte de données de la structure urbaine ou fictionnelle : Type d’habitat (bâtiments et monuments), équipements Sociaux-communautaires, espace vert, voirie et réseaux divers ou les infrastructures techniques de base, niveau de viabilisation, zone industrielle
• Une analyse de la population - Quel est l’état des choses & quels sont les besoins actuels au niveau de l’environnement urbain ? : Collecte de données démographiques et sociologique (structure d’effectif, d’activité, d’emploi, densité, taux d’occupation parcellaire et le taux d’urbanisation) par le biais principalement de sondages auprès de la population.
  Mr Jeancy MULE BOMA, PRIMATURE Gouvernement, République Démocratique du Congo, www.primature.cd

la préservation des plantes médicinales par les peuples autochtones et les communautés locales en Afrique ORAL PRESENTATION - ABSENT

Atteindre les Objectifs de Développement Durable à l’horizon 2030 est un défi qui interpelle en premier lieu les Nations Unies et les pays du Bassin du Congo, qui regorgent de la plupart des ressources naturelles capables de jouer un rôle majeur dans le développement durable.

Le constat actuel n’est en aucun cas étincelant, les actions anthropiques se traduisant par l’insouciance, l’incivisme, l’ignorance, le gaspillage des ressources, l’égoïsme, le mode de vie, l’industrialisation, la déforestation excessive, le mercantilisme, la perte de valeurs sont naturellement à l’origine de fléaux mondiaux tels que pollution, famine, sécheresse, destruction de la couche d’ozone, apparition de pathologies nouvelles et rebelles, disparition d’espèces. C’est grâce à l’homme que nous en sommes arrivés là et c’est aussi par l’homme que viendra la solution. Mais pour arriver à un monde où il y a plus de paix, de justice, d’équité et de bonheur, nous devons lever les barrières, reconnaître ses limites et ses insuffisances et inclure chacun dans ce processus de construction et de recherche. d’un monde meilleur en prenant en compte toutes les particularités existentielles de l’humanité.
Chaque peuple doté d’une organisation sociologique qualifiée de primaire ou évoluée possède des valeurs intrinsèques et un savoir-faire qui peuvent être mis à profit pour atteindre ces ODD. Il faut donc éviter les jugements de valeur, la stigmatisation et l’exclusion qui sont des facteurs non objectifs et de contre-performance. Il faut nécessairement intégrer toutes les composantes sociologiques dans la recherche de solutions efficaces et mener des actions résilientes en adoptant des stratégies innovantes à la hauteur de l’enjeu.

Les peuples Baka étant dépositaires de certaines originalités, authenticité, savoir-faire, savoir-faire et savoirs spécifiques que leur confère leur identité de peuples autochtones et donc premiers habitants : il faut reconnaître en eux les détenteurs d’une certaine science, d’une technologie qu’ils possèdent, la maîtrise de la forêt et de tout le milieu naturel donc ils sont originaires de longue date.

Le Cameroun, n’étant pas un sorcier de cette réalité, doit embrasser cette évidence et prendre en compte le potentiel de ses peuples forestiers (pygmées), et leur contribution significative voire essentielle à la conservation de la biodiversité. Au Cameroun, ces peuples vivant en forêt ne jouissent malheureusement pas pleinement de tous leurs droits du fait de leur minorité, pourtant ils détiennent des savoirs et savoir-faire ancestraux très utiles dans le domaine de la protection de la nature, du développement de l’écotourisme et de la conservation des plantes médicinales. les plantes.

L’orphelinat ’Bons Samaritains’ qui encadre les enfants Baka entend promouvoir leur culture en :
• Organiser des sessions d’éducation environnementale dans les écoles et les collèges pour initier les jeunes aux savoirs traditionnels sur la conservation de la nature et la lutte contre le changement climatique ;
• Organiser des séances de sensibilisation auprès des peuples Baka pour leur participation à la préservation de la nature et à la lutte contre le changement climatique ;
• Créer une boutique à Djoum pour valoriser le savoir-faire des peuples Baka (plantes médicinales et ouvrages du PACL) ;
• Lister les danses, sons et rythmes traditionnels ainsi que la fabrication d’instruments de musique à base de cordes végétales et autres instruments à percussion de ces peuples de la forêt...)
• Créer un groupe de danse et de culture des peuples Baka pour la participation à divers festivals nationaux et internationaux.
Les peuples autochtones doivent valoriser leur culture locale en termes de gestion durable de la biodiversité.
Mrs Sophie Rose ROBERTSON BILOUNGA, COMIFAC, Gabon, http/www.comifac.org

CYCLE RECHERCHE, PUBLICATION ET INNOVATION CHEZ LES ACADÉMICIENS POSTER PRESENTATION - ABSENT

Pour les enseignants/conférenciers qui disent qu’ils n’ont rien à rechercher au milieu de tâches d’enseignement chargées, j’aimerais partager comment les idées de la classe peuvent se transformer en cycle recherche-publication-innovation (RPI). Les méthodes d’enseignement pédagogique sont souvent présentées comme des idées d’enseignement créatives, car aucune méthode ne convient à tous les élèves, dans toutes les situations.La salle de classe contient une mine d’informations et de données pour une rédaction académique authentique. Quand les enseignants/universitaires disent ; « Je n’ai rien à écrire ! », la réponse se trouve dans l’environnement de la classe.Premièrement, les méthodes d’enseignement utilisées par les enseignants peuvent être transformées en innovations créatives.

L’enseignant a-t-il improvisé des méthodes existantes pour les adapter à différents groupes d’élèves ? Comment le comportement des élèves peut-il être utilisé comme donnée dans une étude ?

Comment rendre compte du comportement des enseignants dans une étude ? Comment les activités peuvent-elles être rapportées en tant que données dans une étude ?

Ensuite, la salle de classe contient également de nombreuses possibilités de collecte de données.Quand les enseignants disent : « Je n’ai pas le temps d’écrire », la réponse se trouve dans la documentation quotidienne faite par l’enseignant.Les enseignants planifient généralement des activités avant-pendant-après la leçon pourraient incorporer de courts épisodes d’un plan de collecte de données à chaque étape de l’activité de la leçon. Tout d’abord, un enseignant/conférencier peut planifier en début de semestre la méthode pas à pas d’une méthode d’enseignement
créatif. Ensuite, l’enseignant peut commencer à préparer un sondage/un entretien/des questions ouvertes pour obtenir des commentaires sur les réactions des élèves envers la méthode d’enseignement créatif. Tout au long du semestre, l’enseignant peut vouloir documenter la méthode d’enseignement créatif avec des photographies d’élèves réalisant les activités. À la fin du semestre, l’enseignant peut prendre le temps d’écrire et de publier les données recueillies.

La figure 1 montre comment une idée pédagogique peut s’épanouir dans quelques publications.

• (1) tout commence par une idée de classe unique par l’enseignant.
• Ensuite, (2) l’enseignant fait ensuite des plans pour un compte rendu de recherche.
• Ensuite, (3) l’enseignant publie le rapport de recherche.
• Après cela, (4) l’instrument utilisé dans l’étude ou l’idée innovante peut recevoir le droit d’auteur par le biais de la documentation.
• Maintenant, l’enseignant peut se préparer à (5) participer à un concours innovant pour l’idée créative.
• Ensuite, cette méthode d’enseignement créative peut être transformée en un livre « comment faire » (6).
• Enfin, l’enseignant peut (7) participer à un autre concours innovant pour présenter le livre !

Alors, mon conseil aux enseignants/universitaires, « écrivez ! »
Mr Benjamin Nartey ODONKOR, BMAJ GIFTED FOUNDATION, Ghana, www.bmaj gifted foundation

Projet de recherche participative OSI, moteur de relance du tourisme durable en RDC POSTER PRESENTATION - ABSENT

La RDC bien que riche en biodiversité entre la faune et la flore endémiques, son hydrographie extraordinaire qui lui offre des cours d’eau spectaculaires et des lacs majestueux n’est plus une destination de renom. Depuis plus de 2 décennies l’infrastructure touristique existant n’a pas été entretenue et les destinations de rêve n’ont pas été exploitées.

Plusieurs facteurs sont à la base de ce désintéressement tels que :
1. les conflits inter- frontaliers, ethniques, social et culturels ;

2. l’insécurité grandissante l’Est dans les zones de conservation et des parcs ;

3. le non- respect des engagements et textes régissant secteur de l’environnement ;

4. le vandalisme, le braconnage, le volet autres pratiques illégales notamment la corruption, etc.

Très conscients de tous ces facteurs, nous avons jugé utile d’élaborer un projet dénommé "MOPEPE YA SIKA" qui veut dire un vent nouveau ou un nouveau élan ou une nouvelle formule.

Il s’agit d’une initiative qui vise à mettre en place une campagne de sensibilisation l’horizon 2030 dans le but d’amener les politiques et décideurs, les scientifiques, les professionnels du tourisme et le juristes en général et en particulier les populations riveraines des zones de conservation et des aires protégées à une réelle prise de conscience en faveur de la préservation et de la protection de la biodiversité et de la valorisation de notre patrimoine naturel et culturel, afin d’en faire un levier de développement local durable via les projets de recherche participative OSI.

Nous pensons que les projets de recherche participative OSI comme un outil pour le développement local et la science contribueront à la fois à une voie vers l’autonomisation de tous les acteurs et à la fois à la réduction du temps nécessaire pour générer des solutions liées :

1. à l’élaboration des projets scientifiques à l’échelle internationale pour attirer beaucoup plus de confiance dans la tête des gens que du simple tourisme ;

2. au développement socio- économique des lieux visités et donc une certaine réduction de la pauvreté ;

3. à la création d’emploi pour les jeunes ;

4. à la stabilité, à la paix durable et à la reddition des conflits et des guerres par des échanges culturels des peuples qui vont se connaitre et se partager les expériences
Mr Louison KALAMBAYI KIYONGE, ONG OSI-RDC, République Démocratique du Congo, www.osi-ngo.org/groupes-locaux/article/osi-republique-democratique-du-congo/

THE POSITION OF SPACE SCIENCES IN AFRICA : OPPORTUNITIES AND POTENTIALS POSTER PRESENTATION - ABSENT

The Moon, the Stars and the Sun in some extent even the Clouds in the Sky are regarded as sacred or gods by some African traditional religions which are at present in control of approximately 25% of the entire African population of approximately 900 million as at 2009. In this respect the followers of these traditional religions are there for restricted from studying the Moon, Sun, Stars or any other object above the atmosphere or the astronomy. However the religion of Islam and Christianity which are collectively in control of 70% of the African population have not restricted their followers from studying the Moon, Sun, Stars or the Astronomy, but however due to the presence of elements of astrology in the space sciences generally, which is a branch of studies many Africans use locally through studying the movements of Stars in the prediction of future events or in fortune telling businesses made the Space Sciences generally to be less attractive to both the Muslims and the Christians in Africa, hence this situation is making many young promising potential future astronomers, aerospace engineers, climatologist, metrologies or the astrologists in their early education (primary or secondary/high schools) end up studying non Space related sciences related courses in their University levels. Hence this situation has led to the underdevelopment of the space sciences generally in Africa and which also has the potential of under developing the future of space sciences at the global level too over time.

In view of the above and in order to expand the development of space sciences as a whole the under listed suggestions/recommendations were proffered which if adopted and implemented it will enhance the development of the space sciences at all levels ;

1. Major stake holders in the space sciences like the United Nations Organization of the Outer Space Affairs (UNOOSA), National Aeronautic Space Agency (NASA), European Space Agency (ESA) and many others should be helping in sponsoring and organizing Public enlightenment conferences, workshops, seminars or capacity building programs in Africa with the aim of developing the space sciences on the continent.

2. Religious scholars specially the Muslim, Christian and the African traditional religious scholars should be included in the capacity development programs towards developing the space sciences in Africa.

3. The international Space Organizations, especially those organizations that have excel or at the peak of the modern space sciences like the NASA, ESA and others should open their offices and possibly training institutes in Africa.

4. The international space organizations like the NASA, ESA and even the UNOOSA should be given scholarships to identified future space scientists in Africa that may not likely get the financial support to study the space sciences at the University level.

5. Papers and Abstracts coming from Africa should be given priority by organizers of conferences, workshops or seminars on the ground that many papers coming from Africa are towards developing the space sciences instead of being highly technical papers in this field of science, because the space sciences itself is not yet developed or recognized on the continent.

Conclusion
Africa will continue to under develop or even restrict the studies of space sciences with time, unless if the above listed suggestions/recommendations are adopted and implemented otherwise the rate at which the space sciences will continue to under develop will ever be on the increase.
Mr Babagana ABUBAKAR, Kanuri Development Association, Nigeria, https://web.facebook.com/Kanuri-Development-Association-KDA-554927154936244

LES RÉSULTATS DE LA RECHERCHE SUR L’EFFET ET L’IMPACT DU EXPLORATION DE PÉTROLE BRUT ET POLLUTION SUR L’ENVIRONNEMENT COMMUNAUTAIRE RISQUES SANITAIRES POSTER PRESENTATION

LES RÉSULTATS DE LA RECHERCHE SUR L’EFFET ET L’IMPACT DU PÉTROLE BRUT EXPLORATION POLLUTION SUR L’ENVIRONNEMENT COMMUNAUTAIRE (CONSERVATION & PROTECTION DE LA BIODIVERSITÉ)

& RISQUES SANITAIRES PAR L’ANALYSE ET LE DIAGNOSTIC EN LABORATOIRE POUR UNE GARANTIE CONSERVATION DE L’ ENVIRONNEMENT FORESTIER, DES SOINS DE SANTE ET POUR UN PLUS ENVIRONNEMENT NATUREL DURABLE
Mrs Kandi Faith Tum (Researcher-Author), Dr Tambe Romanus Kovu (Research Student-Co-Author) ;Dr Nnoko Danielo Ayompe (Research Student-Co-Author), Dr Apene Derek Aziwoh (Research Student-Co-Author) , Dr Betek Charles Otokini- PhD Research Student- Co-Author,Dr Mrs Lauryne Ewume Motomby : PhD Research Student-Clinical Analyst-Co-Author,Co Author) Dr. Betana Sirantis Mbiakaetapo(Research Student-Co-Author),Dr Tume Paul Njako-(Research Student-Co-Author) Dr. Mac-Queen Eseme Ebako, Dr Mrs.Jennifer Etiendem Mbekem (Researcher-Co-Author) Dr. Eugene Ulrich Ndjaka Bah (Doctorate Research Student-Co-Author) Dr.Mrs Esapa Elizabeth Yoh (Doctorate Research Student-Co-Author) Dr- Chambalain Nkengfack Njomo-PhD Research Co-Author), AREMCAM-CAMYFSDCAM, Cameroon, www.aremd.org

LE TRANSPORT ET LES OBJECTIFS DE DEVELOPPEMENT DURABLE EN AFRIQUE POSTER PRESENTATION

<docNNNN|left> Le but du présent article est double. Faire la synthèse des études réalisées sur le rôle du transport dans la progression des pays d’Afrique subsaharienne en direction des Objectifs de Développement Durable(ODD) et déterminer s.il serait souhaitable de définir pour le transport des objectifs spécifiques lui permettant de contribuer à la réalisation des Objectifs du Développement Durable , ou tout au moins de faire en sorte que la contribution de ce secteur soit mieux explicitée par les pays dans leur travail de planification et de suivi en rapport avec les ODD. Le transport n’est pas expressément mentionné dans l’énoncé des ODD qui a été signé par tous les pays d’Afrique subsaharienne, ainsi que par les pays donateurs et les pays en développement d’autres régions du monde, dans les mois qui ont suivi le Sommet du Millénaire des Nations Unies de septembre 2000. Il n’en reste pas moins que l’importance des infrastructures et des services de transport a toujours été reconnu. L’ancien Secrétaire Général des Nations Unies, M. Koffi Annan, de regrettée mémoire dans son rapport à l’assemblée Générale en septembre 2004, a parlé explicitement d’« investissements ciblés dans les infrastructures économiques et sociales » dans sa liste des cinq grands domaines où il faudra « faire un bond de géant, tant sur le plan matériel que dans nos ambitions » si l’on veut que les ODD soient atteints. À quelques exceptions près, comme la mortalité routière, la ponctualité des avions et des trains, ou encore le temps de rotation des navires, on utilisait jusqu’alors assez peu d’objectifs de performance généraux pour les transports, même dans les pays de l’OCDE, en partie à cause de la grande variété et de la spécificité des services fournis. Mais les choses sont en train de changer avec l’introduction des principes de « gestion fondée sur les résultats »d’une manière générale et le développement des contrats assortis de critères de performances, qui font que l’on s’intéresse aujourd’hui davantage à ce type d’objectifs.
Mr Julien Edmond TONYE BALEBA, Almutakamela Vehicules testing, Cameroon, info almutakamela.com

Cos4Cloud - Intégrer la science citoyenne dans le cloud européen de la science ouverte : défis et opportunités pour le développement d’une nouvelle génération d’Observatoires de la science citoyenne ORAL PRESENTATION

La science citoyenne est l’une des huit priorités de l’agenda européen de la science ouverte, avec la création de l’European Open Science Cloud (EOSC). L’EOSC intègre la vision de la Commission européenne d’une infrastructure étendue pour soutenir et développer la science ouverte et l’innovation ouverte en Europe et au-delà. Ce nouvel écosystème fournit un environnement virtuel à tous les chercheurs pour stocker, gérer, analyser et réutiliser leurs produits (logiciels, données, entre autres). À des fins de recherche, d’innovation et d’enseignement.

Dans ce cadre, le projet H2020 « Services d’observatoires citoyens conçus pour le nuage EOS » (2019-2022) aspire à intégrer la science citoyenne dans l’écosystème EOSC. COS4CLOUD vise à développer la recherche et la technologie essentielles pour co-concevoir et prototyper des services innovants pour répondre aux défis critiques rencontrés par les observatoires citoyens. L’objectif final est d’améliorer la mise en œuvre des observatoires citoyens existants et futurs et de contribuer à assurer leur pérennité.

Sur la base de plusieurs observatoires citoyens actuellement largement utilisés en Europe et de certains nouveaux tels que EU-Citizen.Science, une gamme de services innovants, seront co-conçus, prototypés et mis en œuvre. Ces services innovants vont des outils pour améliorer la qualité des données et des informations à l’aide de l’apprentissage automatique approfondi, de la reconnaissance vidéo automatique, des interfaces d’applications mobiles avancées et d’autres technologies de pointe, ainsi que des mécanismes pour assurer la visibilité et la reconnaissance des contributeurs de données et des outils pour améliorer le réseautage entre les différents intervenants. La conception de ces nouveaux services est orientée vers l’utilisateur, impliquant un large éventail de parties prenantes de la société (secteur public, industrie, PME, universités, enseignement et agences de recherche) pour concevoir conjointement les exigences et satisfaire les besoins des utilisateurs.
Pour la co-conception, le développement et les services de test, COS4CLOUD développera une gamme variée d’activités allant des datathons aux hackathons, entre autres ; ainsi que la création d’un espace d’échange de connaissances et de partage des meilleures pratiques. Ces activités pourraient être un espace utile pour promouvoir le travail collaboratif entre les observatoires citoyens, en particulier dans les défis communs concernant les infrastructures et la technologie. De même, améliorez la mise en réseau entre eux et recherchez des opportunités et des solutions pour leur durabilité.

En plus d’inviter la communauté scientifique citoyenne à s’impliquer dans COS4CLOUD, nous partagerons les progrès de certaines des questions sur lesquelles COS4CLOUD travaille comme : Comment ces services innovants pourraient-ils contribuer à la mise en œuvre de la science ouverte en Europe ? Quels sont les liens potentiels avec d’autres initiatives en cours (par exemple, Eu- Citizen.Science, ...) ? Quels sont les enjeux des observatoires citoyens en termes de qualité et d’interopérabilité ? Quelles sont les opportunités que les nouvelles technologies apportent ? Comment mettre en œuvre l’approche des données FAIR dans la science citoyenne et ce qui manque dans cette approche du point de vue de la science citoyenne ?
Mrs Karen SOACHA, Mr Jaume PIERA, Mr Miquel Angel RODRIGUEZ ; Institute of Marine Sciences, Spain, http://www.cos4cloud-eosc.eu/

Développer des mesures et des instruments pour évaluer les impacts de la science citoyenne sur la société, la gouvernance, l’économie, l’environnement et la science ORAL PRESENTATION

La science citoyenne apparaît comme un mécanisme important pour informer les politiques, contribuer aux découvertes scientifiques et profiter à la société. Actuellement, ni les décideurs politiques ni les scientifiques ne disposent de suffisamment de preuves empiriques sur la manière dont la science citoyenne informe les politiques, contribue aux découvertes scientifiques ou profite à la société dans son ensemble. Des approches innovantes et un éventail plus diversifié d’outils d’évaluation de la science citoyenne sont nécessaires pour comprendre les rôles des citoyens dans le cycle de la recherche et pour planifier et mettre en œuvre des projets de manière à obtenir des résultats scientifiques et politiques plus efficaces. Le projet MICS (Measuring Impacts of Citizen Science) vise à développer ces outils et à les tester sur les activités de science citoyenne dans le contexte des solutions basées sur la nature (NBS).
Les NBS font de plus en plus partie des stratégies politiques et de planification, mais de multiples lacunes dans les connaissances ont entravé leur mise en œuvre et leur acceptation. Par exemple, les systèmes naturels se comportent différemment selon le type d’écosystème, le climat, l’emplacement, l’état et la gestion, et les hypothèses générales sur le fonctionnement et l’impact des NBS ne peuvent donc être faites qu’avec prudence. Cela a conduit à des variations dans leur succès et leur application. L’efficacité des NBS dépend dans une large mesure de la perception de la nature et des besoins des parties prenantes, telles que les citoyens/le public, les groupes d’utilisateurs, les organismes de protection de la nature, les propriétaires fonciers, les agriculteurs, les gestionnaires des terres, les décideurs politiques et les praticiens. Les défis et les lacunes en matière de connaissances que présentent les NBS peuvent être surmontés en faisant participer les citoyens à la conception conjointe et à la collecte de données scientifiques relatives aux NBS.
Le projet MICS évalue l’impact des activités scientifiques des citoyens dans le contexte de la recherche sur les NBS [https://ec.europa.eu/research/environment/index.cfm?pg=nbs]. Les objectifs spécifiques du projet MICS sont les suivants :

• fournir des mesures et des instruments complets, participatifs et inclusifs pour évaluer l’impact de la science citoyenne ;
• mettre en œuvre une base de connaissances sur l’évaluation de l’impact par le biais de boîtes à outils pour l’application de méthodes, la visualisation d’informations et la fourniture d’informations aux décideurs, aux citoyens et aux chercheurs ;
• donner des moyens d’action aux gens ordinaires, en adoptant et en adaptant les meilleures pratiques générées par le projet Ground Truth 2.0 [https://gt20.eu/] dans la co-création d’une science citoyenne pratique validée dans quatre sites d’études de cas à travers l’Europe, ce qui a abouti à un cadre conceptuel complet et à des recommandations claires pour les personnes impliquées dans des projets de science citoyenne ;
• pour générer de nouvelles approches qui renforcent le rôle de la science citoyenne dans le soutien à la recherche et au développement ;
• favoriser une approche de la science citoyenne afin d’accroître la prise en compte des preuves scientifiques par les décideurs politiques par le biais de recommandations spécifiques.

Pour atteindre ces objectifs, les MICS (1) développer des mesures et des instruments pour mesurer les coûts et les bénéfices de la science citoyenne en relation avec les NBS, avec une attention particulière dans les domaines de l’environnement, de la science, de la société, de l’économie et de la gouvernance ; (2) fournir une plateforme intégrée pour appliquer ces mesures et instruments ; (3) valider les meilleures pratiques dans la co-création de science citoyenne pratique par des essais pilotes dans quatre sites d’étude de cas à travers l’Europe (au Royaume-Uni, en Italie, en Hongrie et en Roumanie) ; et (4) produire un cadre conceptuel complet et des recommandations claires.

Le projet MICS développe les approches nécessaires pour évaluer l’impact de la science citoyenne et crée un outil en ligne facile à utiliser qui permet aux gestionnaires de projets et aux décideurs politiques de déterminer comment maximiser l’impact positif. Les quatre sites d’étude de cas explorent l’applicabilité et l’utilité des outils de science citoyenne dans des régions dont les besoins, les contextes, les conditions, les contraintes et les approches des NBS diffèrent, et qui présentent divers niveaux d’application et d’assimilation de la science citoyenne. Dans certains des sites sélectionnés, MICS adopte la méthode Freshwater Watch [https://freshwaterwatch.thewaterhub.org/] que les citoyens utilisent pour surveiller les nitrates et les phosphates dans les écosystèmes d’eau douce.

La plateforme, les données et la totalité des résultats de MICS seront à la disposition de toute personne impliquée dans un projet de science citoyenne souhaitant en comprendre l’impact, que ce soit au stade de la planification ou après la conclusion du projet. L’outil d’évaluation de l’impact est applicable à tout projet de science citoyenne, et MICS prévoit de l’intégrer dans des plateformes telles que EU-Citizen.Science et COS4CLOUD. Le projet contribuera à démontrer que la participation des citoyens à des projets scientifiques a de sérieux atouts : des millions de personnes utilisant des applications de surveillance de l’environnement peuvent faire la différence.

Les nouvelles mesures et les nouveaux instruments des MICS permettent également de mesurer l’impact de la science citoyenne par rapport aux objectifs de développement durable (SDG). Atteindre les objectifs est complexe et nous sommes loin d’avoir atteint tous nos objectifs. Les MICS et, en général, l’investissement de la Commission européenne dans la science citoyenne offrent une rare opportunité d’obtenir un impact mesurable.

Le projet MICS fournit la méthodologie et les outils qui permettent l’évaluation systématique des impacts des projets de science citoyenne dans différents domaines (à savoir, la société, la gouvernance, l’économie, l’environnement et la science). Comme toute autre intervention, l’impact des projets de science citoyenne peut être positif ou négatif, intentionnel ou non. Enfin, MICS fournit la première analyse approfondie de la manière dont la science citoyenne peut avoir un impact sur la recherche, le développement et l’apprentissage sociétal, et comment la science citoyenne peut être (ou non) une voie d’action pour les décideurs.

Mr Luigi CECCARONI, Ms Uta WEHN, Mr Steven LOISELLE, Mr Stephen PARKINSON, Ms Hannah JOYCE, Mr Marc NAURA, Mr Martin JANES, Mr Mohammad GHARESIFARD, Ms Sasha WOODS, Mr James SPRINKS ; Earthwatch, United Kingdom ; https://earthwatch.org.uk/

PROGRAMME OSI-PANTHERA ORAL PRESENTATION

12 ans au service de la panthère des neiges.
De l’étude scientifique, à l’implication des populations locales, en passant par l’ éducation à l’ environment, OSI-PANTHERA est une aventure humaine et naturaliste en perpetuel mouvement.

Mr Bastien CHAIX, Objectif Sciences International, http://www.osi-panthera.org/

Islande : Terre de Feu et de Glace ORAL PRESENTATION

L’été dernier, nous sommes partis en expédition en Islande. Pendant ce voyage, nous avons pu explorer une grande diversité de paysages, chacun présentant leurs particularités. L’Islande est un véritable trésor pour le monde scientifique, nous avons pu découvrir de nombreux domaines et sous-domaines de la science comme la géologie, la volcanologie, la glaciologie et comment ces domaines se chevauchent pour former l’Islande telle qu’elle est aujourd’hui.
Mr Thomas RAVEL, Mr Alexandre RAVEL ; Objectif Sciences International, France, http://www.vacances-scientifiques.com/-EXCELLENCE-.html

3DEXPERIENCE Lab Museum of Innovation : Une expérience virtuelle évolutive, déployable et infinie présentant des innovations contribuant fortement aux SDG des Nations Unies ORAL PRESENTATION

Voici une présentation vidéo de Frédéric Vacher, directeur mondial et responsable de l’innovation - Dassault Systèmes 3DEXPERIENCE Lab, qui vous fera voyager en parcourant les différents projets du 3DEXPERIENCE Lab dans un environnement virtuel immersif, alimenté par la plateforme 3DEXPERIENCE.
Fin 2019, le 3DEXPERIENCE Lab a dévoilé un laboratoire virtuel, sous la forme d’un "Musée de l’innovation", une expérience de réalité virtuelle scientifique et technologique pour présenter les innovations du monde entier. Alors que 3DEXPERIENCE Lab est physiquement présent sur 3 sites, ce laboratoire virtuel est disponible sur le cloud - un format qui rend l’esprit de 3DEXPERIENCE Lab plus accessible de n’importe où dans le monde.
Nous cartographions les projets des jeunes pousses candidates avec les objectifs de développement durable des Nations unies (SDG) afin de comprendre leur alignement et leur potentiel d’impact. Actuellement, nous accélérons :

• 11 projets de startup axés sur l’objectif de développement durable 3 (santé et bien-être),
• 3 projets sur le SDG 7 (énergie propre et abordable),
• 3 projets sur le SDG 4 (Education de qualité),
• 3 projets sur le SDG 10 (Réduction des inégalités),
• 2 projets sur le SDG 9 (Industry Innovation & Infrastructure),
• 2 projets sur le SDG 11 (Sustainable Cities & Communities),
• 2 projets sur le SDG 12 (Consommation et production responsables), et plus encore.
  Des drones solaires autonomes et de la production d’énergie durable aux organes imprimés en 3D et à la chirurgie virtuelle, cette nouvelle expérience immersive en 3D offre une façon unique pour quiconque de découvrir les projets perturbateurs du Labo qui abordent certains des principaux défis mondiaux en matière de santé, de bien-être, d’énergie, d’agriculture, de mobilité et d’autres domaines. En naviguant virtuellement à travers le "Musée de l’innovation" à l’aide de dispositifs de réalité augmentée, les visiteurs vivent chaque projet innovant comme une expérience multisensorielle interactive en temps réel en 3D. Tout au long de cette expédition d’apprentissage, les visiteurs peuvent avoir un aperçu du contexte d’un projet, comprendre comment il contribue à l’avancement des SDG des Nations unies, et écouter le PDG de la start-up, puis approfondir l’histoire en faisant l’expérience virtuelle de simulations scientifiques et en interagissant avec un jumeau numérique du projet aux côtés de son prototype physique.
  Comme cette expérience de RV est disponible dans un environnement numérique sur le cloud, elle est évolutive et rapidement déployable. Suite à cette avant-première, Dassault Systèmes prévoit d’étendre l’accès au musée virtuel aux autres pays où il est situé, et de s’associer à des musées scientifiques pour partager l’expérience avec le public.

Mr Frederic VACHER, Dassault Systèmes 3DEXPERIENCE Lab, France, https://3dexperiencelab.3ds.com/en/projects/