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Introduction
D’ici 2050, on estime à deux tiers la population mondiale qui vivra en milieu urbain. Pour concilier à la fois
- les besoins des citoyens,
- les besoins de l’environnement,
Un changement global vers des villes plus responsables sera nécessaire, ce qui impliquera un grand nombre d’innovations scientifiques et technologiques. Ces dernières années, nous avons assisté à une transformation progressive
- des transports
- de l’économie
- du rapport à l’environnement
Ceci a mené ce concept de Smart Cities, au sein desquelles environ vivre sept personnes sur dix devraient pouvoir vivre d’ici une trentaine d’années. Ces éco-cités, villes plus durables et responsables, vont provoquer de grandes modifications organisationnelles de la vie quotidienne et nécessiter une éducation ainsi qu’une participation plus efficace des collectivités afin de faire face aux enjeux du changement climatique et du développement durable.
Le programme
Programme de la semaine du GENEVA FORUM : axes d’approches du thème Smart Cities
Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | |
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Smart Cities Matin | Axe Droits de la Nature - Juridique | Axe Finances Responsables | Axe Médiation Conflit | |
Smart Cities Après-Midi | Axe Tourisme responsable | Axe Droits de la Nature - Projets | Axe Sciences citoyennes | Axe Education |
Pour être auditeur ou présentateur sur l’une de ces conférences, connectez-vous à l’aide du lien suivant : Programme du GENEVA FORUM
Par le biais du forum de Genève, l’ONG Objectif Sciences International, permet la mise en place de la discussion autour de ces grands enjeux contemporains. Avec cette réunion de la communauté scientifique, politique et académique internationale, un point sera fait sur les avancées technologiques, scientifiques et sur les futurs projets concernant l’évolution des Smart Cities.
En venant participer à cette réunion d’exception, vous allez bénéficier de la localisation du forum de Genève qui se déroule au sein du Palais des Nations. Le bâtiment de l’Organisation des Nations-Unies vous permettra d’avoir un impact conséquent sur les prises de conscience et sur les prises de décisions internationales grâce aux multiples représentants et acteurs du domaine du développement durable présents.
A l’ère de la révolution numérique, un des progrès majeur en faveur du développement durable et de la protection de l’environnement est une transformation flagrante des modes de vies et des lieux dans lesquels nous vivons. En alliant les gouvernements de tous niveaux, les entreprises, les institutions et les citoyens, l’évolution de ces villes inclusives pourra aller dans le sens des besoins de tous tout en essayant de régler les problèmes environnementaux : plus d’accès efficaces à des services publics, plus d’optimisation du temps, de l’espace et de l’argent et plus d’inclusion comme par exemple via un le développement de réseaux de transports en commun pour tous, non consommateurs d’énergie non-renouvelable.
Ces villes intelligentes et durables utilisent de nouvelles technologies pour répondre à ces demandes tout en consommant d’une façon plus respectueuse de l’environnement l’énergie et les ressources. Afin de respecter les objectifs du développement durable, ces nouvelles technologies devront être en accord avec de nouveaux cadres juridiques et législatifs et de nouvelles formations d’étudiants et de professionnels afin que les villes de demain soient plus agréables à vivre sur le long terme pour tous les citoyens.
Plus que d’être des « villes intelligentes », ces nouvelles villes collaboratives sont composées d’un corpus de citoyens, de gouvernants, d’entreprises et de corps de métiers qui sont eux-mêmes « intelligents ». Cette mission se doit d’allier tout un corpus de professions (tels que des juristes, urbanistes, architectes, académiques, scientifiques ou encore des politiciens) afin de faire face aux nouvelles problématiques et aux nouveaux enjeux causés par ce mode de vie urbain au sein de ces villes numériques. C’est notamment le cas concernant les questions de sécurité des données ou de la maitrise de l’intelligence artificielle. Une bonne gouvernance et une plus grande démocratisation est donc nécessaire, afin de permettre plus de participation des citoyens mais aussi une ouverture de la discussion et des propositions au niveau mondial dans le but d’arriver à des consensus et à de nouvelles règles internationales et régionales.